Freins : Le délinquant freine le développement harmonieux de la nation,
- Il instaure l’insécurité dans la cité,
- Il dérange en bafouant certaines valeurs reconnues par les adultes,
- Il hypothèque l’avenir du pays dès lors que l’on admet que la jeunesse est l’avenir d’un pays : « Dis-moi quelle jeunesse tu as, je te dirais quelle nation tu auras ».
Vols avec agression : Les jeunes agresseurs ont comme cibles les personnes qui ont peu ou pas de moyens pour se défendre : jeunes filles esseulées, vieillards, enfants… Ce sont les portes monnaies, les sacs qui sont arrachés. Parfois les agresseurs s’emparent des atours de leurs victimes (montres, bracelets, chaînes…)
NB : On remarque des vols à la tire ou des vols de pick-pocket…
Violence gratuite : « On déconne pour se défouler ». Ce n’est point un besoin matériel ou la pauvreté qui pousse le délinquant à suer de violence gratuite (on tabasse une jeune fille, on casse des vitres de voitures…) mais peut être envie sans doute négative, d’exprimer sa personnalité.
Violence verbale : le délinquant est souvent vulgaire, grossier, impoli. Il a tendance à ne pas respecter les adultes, à les défier. Il n’est jamais triste quand il se voit traiter d’un voyou. Il trouve un malin plaisir à transgresser toutes les règles d’une bonne moralité, d’une bonne éducation. En ce sens même, l’accoutrement des délinquants (gros pantalons, casquettes à l’envers, cheveux tressés…) cherche la marginalisation.
La drogue et l’alcool : La consommation de tabac et de drogue rime avec la délinquance juvénile, de même que la consommation de l’alcool. C’est pour le délinquant une façon (sans doute mauvaise) de s’affirmer, de se donner du plaisir « chaud ». Souvent les délinquants font précéder leurs méfaits de la consommation d’une bonne dose d’alcool ou de drogue.
Le viol : Une mauvaise éducation sexuelle peut pousser le délinquant à violer des jeunes filles.
La prostitution juvénile féminine comme masculine est une forme de délinquance.